vendredi, août 04, 2006

Et puis y a Frida....


Frida sur le CV et Farida sur le répondeur. Mais où est passé le A ? Le A est gommé, comme on gomme une tâche, le A est muet, tellement parlant pourtant, le A est censuré parce que non AOC. " Une lettre de plus ou de moins, ça change rien ", qu’elle s’est défendue. Pathétique travestie identitaire. Blanchiment inutile parce qu’ici on accepte les rebeu, la preuve : j’y suis. En plus, on a même payé pour m’avoir, au moins deux chameaux à l’Office de la Main d’Œuvre Etrangère, et une lettre de motivation dithyrambique sur mon profil à nul autre pareil et la valeur ajoutée de mes doigts de pied. Même pas dû sucer pour être prise, je veux dire embauchée. Bon, il y a quand même eu un doute sur mon orthodoxie syntaxique. Mais j’ai su conjuguer mon zèle au plus-que-parfait… enfin les premiers mois parce qu’ensuite l’imparfait a vite pris le dessus. Il faut bien s’accorder à l’air du temps.

17 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Slt Douda,
c'est vrai que le "A" fait la différence. Dans mon cas je serai "Mine" si j'enlève le A ou pis encore "Mine de rien". Je n'arrive pas à m'imaginer sans une lettre de mon prénom, pcq chaque lettre a attrait à ma personne, elle est plutôt un trait de ma personnalité.
dans ton post je vois de l'indignation mais permets moi de te dire que si une lettre de ton prénom est une composante de ton identité, il ne faut pas oublier que les autres (bcp) sont en quête d'une identité ou une pseudo identité, ils ont renié la leur et d'autres identités les "renient". C'est le cas de Frida (drôle de passage du beur à Allemand/Autrichien), alors tu ne dois pas lui en vouloir... Regarde la et continue à écrire...

5:55 PM  
Blogger Roumi said...

Je trouve cette histoire triste. Maintenant je ne sais pas qui est le plus pathétique de cette "travestie identitaire" ou de ces entreprises qui n'apprécient que les "produits du terroir français".
Tu représente donc l'équivalent de deux chameaux (j'espère que tu ne parles pas de ton caractère !)... allez, je suis sympa, j'en offrirai trois à ton père. Je peux remplacer les chameaux par des ânes si c'est plus utile. :-)

Tu n'as pas sucé pour être embauchée ? Mais tu devras peut être le faire pour ne pas être virée... peut être que ton recruteur est un habile pervers qui a déjà tout prévu... dans la seule intention de t'avoir à genoux devant lui. :-)

Oui tu as raison pour "l'imparfait". Il n'y aurait aucune raison pour qu'on critique tes éventuelles fautes d'orthographe dans la mesure où les Français écrivent comme des gros nuls maintenant. Parfois même cela ne veut plus rien dire du tout ou cela veut dire autre chose car certains écrivent presque en phonétique et changent des mots, font des accords qui changent le sens de la phrase ! C'est la décadence... mais personnellement je ne m'accorde pas à l'air du temps dans ce domaine. :-)

12:09 AM  
Anonymous Anonyme said...

Je suis en phase avec ce que dit Roumi au début de son commentaire.
Le comportement un peu terrible que tu décris est hélas la conséquence malheureuse d'une réalité contre laquelle il n'est pas facile de se battre...

J'ai à de nombreuses reprises, compte tenu de mon boulot, l'occasion de faire passer des tests d'embauche pour des postes d'informaticien(ne)s. En particulier lorsque j'étais dans une petite boîte pas très connue, la proportion de candidat d'origine étrangère était absolument non représentative de la population : ils étaient bien plus nombreux. J'en déduis qu'ils devaient être ceux qui avaient le plus de mal à se caser pour être obligés de se rabattre sur des petites boîtes délaissés par les nationaux ?
Y'en avait un bon paquet qui étaient assez nuls et qui ne m'ont même pas sucé ; j'espère qu'ils n'imaginent pas que je les ai retoqués pour leur prénom.

Mes deux derniers recrutement :
Nadir, Olivier.

4:42 PM  
Blogger Roumi said...

@comme une image : Bien que je déteste toujours autant ton brinche et tes oeufs brouillés depuis la dernière note, bien que je sois aussi brouillé avec toi que ces oeufs en raison de ta fausse citation de Pierrot (cf. note précédente pour les non comprenants :-)), je dois avouer que le fait que tu partages ici même mon avis te fait très légèrement remonter dans mon estime. :-)

Je me permets de te citer "Y'en avait un bon paquet qui étaient assez nuls et qui ne m'ont même pas sucé." Doit-on comprendre que ceux qui étaient bons se sont comportés plus aimablement avec toi pour te remercier et rendre ainsi hommage à ton flair de recruteur ?! :-)

Euh... enfin bon moi je suis un ange innocent et vierge... mais ça m'étonne toujours ces histoires de sucette au boulot. A partir du moment où on est dans cet esprit d'obtenir des choses par faveur sexuelle, pourquoi on ne demande pas plus que ces vagues succions ? Pourquoi ne pas réclamer, selon ses convenances personnelles, d'agiter le goupillon et de répandre l'eau bénite dans la grotte miraculeuse ou d'explorer le fondement de son interlocuteur au moyen de son appendice caudal. C'est pourtant bien plus chaleureux il me semble... et cela renforcerait bien mieux les liens de solidarité au lien d'une équipe.

@douda : j'espère que la tournure prise par les commentaires est conforme à tes espérances. :-)

8:34 PM  
Anonymous Anonyme said...

@Roumi >
Non, non, tu mélanges tout. Il faut relire « Chroniques de la nique ordinaire », ch. 7, l'amour au boulot, tout est précisé :
- la pipe, c'est pour l'entretien d'embauche et pour la secrétaire
- la sodomie, c'est en compensation d'une augmentation refusée
- le coït, c'est réservé aux collègues préservés de tout lien hiérarchique.

@Douda >
Tu es bien silencieuse, ces temps-ci ! Occupée à bruncher ?

12:58 AM  
Blogger Douda said...

Désolée pour le retard mais navrée de vous décevoir, je n’ai pas brunché ni même fait l’oiseau nocturne, j’essaie juste de me détacher un peu de mon écran qui devient trop accaparant, il faut bien que je trouve de la matière pour mes chroniques….Ceci dit, je vois que vous vous débrouillez très bien sans moi. Va falloir que je pense à libérer les commentaires.
Retournons au billet, j’en parlais à ma sœur, ma conscience, qui m’a encore accusé d’intolérance et de m’en prendre aux victimes au lieu des bourreaux….
Oui, bien sûr la faute à Voltaire si les pauvres français d’origine pas très catholique en sont réduits à montrer patte blanche pour décrocher un entretien. Je suis pour les campagnes de testing et que les entreprises discriminantes se retrouvent avec de vrais procès au cul et je trouve qu’à cet égard, la France n’a pas un bilan reluisant. Je crois que le problème aussi est la confusion entre discrimination ethnique et sociale, les Français oublient parfois que si leurs concitoyens non AOC sont aussi nuls (sic Comme Une Image), c’est moins dû à leurs origines étrangères qu’à leur condition de vie en France. CQFD.
Mais à contrario, le procédé de cette pauvre fille me paraît tellement indigne, tellement pathétique, tellement inefficace surtout, un peu comme ces femmes noires qui se blanchissent la peau à coup de produits toxiques (enfin j’exagère peut-être encore). En plus, je ne peux pas vraiment me mettre dans sa peau, puisque je viens juste de débarquer avec l’idée qu’en tant qu’étrangère, je dois évidemment faire plus d’efforts pour trouver ma place.

Comme une image, « Chronique de la nique ordinaire », tu peux me donner les références exactes, pas trouvé sur Google ?

10:50 AM  
Blogger Roumi said...

@Comme une image :
Merci pour ces explications si précises... un monde s'ouvre à moi. :-)
"Chronique de la nique ordinaire"... encore un titre pastiché de l'oeuvre desprogienne... bon ça va, écoute puisque que tu es adorateur de Pierrot, je ne peux pas te détester et j'ai décidé de ne plus être brouillé avec toi. :-)

@Douda : ben ouais moi j'ai cru que tu étais dans un brunch...
"Chronique de la nique ordinaire" n'existe pas comme je l'ai indiqué plus haut. :-)

Euh pour ce qui des conditions sociales des "non AOC qui seraient nuls", je crois qu'il ne faut pas exagérer. Par exemple, les maghrébins sont de plus en plus présents massivement à l'université ; je l'ai constaté personnellement sur une longue période, les dix dernières années. La plupart des maghrébins installés en France sont donc en mesure de faire quelques années d'études universitaires, comme le reste de la population qui, appartenant aux classes moyennes, n'est pas beaucoup plus favorisée en réalité sur un plan socio-économique.
C'est vrai qu'il peut y avoir des discriminations à l'embauche mais par contre pour les études les chances sont globalement identiques. Les jeunes qui n'ont aucun diplôme, pas même un BEP ou un CAP, sont des gens qui n'étaient ni intellectuels ni manuels et qui se sont laissés aller. Il suffit d'aller voir comment les choses se passent dans un lycée professionnel ou technique pour voir les raisons de l'échec de certains jeunes...
Il n'y a donc pas de réel problème de formation des immigrés ; la plupart sont bien formés, courageux et sérieux dans leur études mais on nous montre toujours ceux qui ont le cerveau vide, qui cassent, gueulent, ...
C'est au moment du recrutement que les choses se compliquent mais de grâce ne parlons pas d'un problème de formation chez les immigrés. Si l'on veut parler d'un problème de formation parlons en chez tous... car c'est bien le niveau global qui baisse et l'ensemble des jeunes sont moins bons d'année en année... encore une observation assez nette quand on fréquente le milieu scolaire.

11:16 AM  
Blogger Douda said...

Ah oui, c'est vrai, j'ai oublié vos chicaneries Desprosgiennes, remarque ça aurait été un bon titre de manuel érotique sans prétention (genre la baise de monsieur et madame tout le monde, des fucking-colleagues, de la boulangère et son apprenti…), maintenant que je sais qu’il n’est pas pris, peut-être que je m’en servirai un jour…
Revenons à nos moutons, Roumi, je ne voudrais pas dénigrer la fac mais où t’as vu que c’était un signe de succès ? Je veux dire que les élites de ce pays sortent toutes d’un même moule qui s’appelle Polytechnique, l’ENA et autres grandes écoles où les enfants d’immigrés ne sont pas vraiment représentés…
Ceci dit, je t’accorde un point : j’étais tombée sur une étude qui disait qu’à niveau social équivalent les enfants d’immigrés s’en sortaient mieux à l’école que les Français de souche, ce qui est plutôt bon signe. Malheureusement, une autre étude constate que la proportion des élèves des grandes écoles issus de milieux défavorisés a fortement baissé ces dernières décennies (ascenseur social en panne), résultat les enfants d’immigrés ont moins de chance que les autres de faire partie des classes dirigeantes, ce qui est in fine le meilleur indicateur d’intégration, non ?

11:50 AM  
Blogger Roumi said...

@douda : je suis d'accord avec toi pour les grandes écoles et les élites. Mais bon, c'est un problème global qui ne concerne pas uniquement les immigrés. Ces écoles, cette élite... sont fermées tout autant à une grande partie des Français de souche qu'aux immigrés et cela vient du fait que ces élites transitent par des filières nettement distinctes de celles des autres.
Pour ce qui est des immigrés j'aurais envie de dire :

1) chaque chose en son temps. On est dans la phase de démocratisation de l'accès à l'université ; c'est déjà une grande avancée et on ne peut pas tout avoir d'un coup. L'évolution est positive et doit évidemment se poursuivre.

2) en ce qui concerne les grandes écoles et élites diverses et avariées, il faut bien être réaliste. Quand on vient d'une banlieue, quelque soit son origine, on a moins de chance que certains autres. Ce n'est pas un problème d'origine, d'autant que, il faut le rappeler, les écoles sont accessibles sur concours. Autrement dit, ce qui ne va pas dans ce domaine, c'est qu'un enseignement élite existe dans quelques rares établissements fermés au plus grand nombre. Très sincèrement ce genre d'établissement est aussi fermé aux Français de souche qu'aux immigrés.

C'est pourquoi d'ailleurs j'insiste plus sur l'université car c'est le lieu véritable de développement de cette jeunesse des classes moyennes, qu'elle soit issue ou non de l'immigration. Et c'est là que l'on peut profiter quelque peu de l'ascenceur social ; moi même issu d'une banlieue quelconque je dois une certaine reconnaissance à l'université, une reconnaissance que je ne pouvais pas espérer dans une grande école n'étant pas programmé sur la touche "élite" depuis ma naissance. Mais bon c'est déjà pas si mal ; il faut faire avancer les choses lentement mais sûrement.

3) je ne crois pas que le meilleur révélateur de l'intégration d'une communauté soit l'appartenance aux élites. Ces élites sont fermées, repliées sur elles mêmes, il est difficile d'y entrer pour la plupart des Français quelque soit leur origine. Les familles composant ces élites détiennent des pouvoirs politiques ou financiers depuis des décennies voire des siècles (l'un des exemples les plus frappant est celui du duc Josselin de Rohan-Chabot, issu d'une famille princière bretonne et qui préside actuellement la région Bretagne). Alors qu'on soit immigré ou non, si on n'en fait pas partie de ces élites, ben c'est pas simple d'y entrer qu'on soit le petit-fils d'un cordonnier berrichon ou le petit-fils d'un berger berbère.

Mais bon si tu veux parler quand même d'élites, je peux te parler dans ce cas d'élite intellectuelle. Il y a de plus en plus d'universitaires au sens large (enseignants, chercheurs, ...) qui sont maghrébins par exemple. C'est bien la preuve que l'université est le point clé pour les classes moyennes, et notamment celles issues de l'immigration, et c'est bien aussi un accès à une forme de réussite sociale élevée. Et ce sont ces gens qui peuvent espérer que leurs enfants s'élèvent encore plus qu'eux.
On accède aux élites par un escalier, chaque génération montant une marche supplémentaire ; dans ce domaine les ascenseurs sont rares pour tout le monde. C'est d'ailleurs comme cela dans toutes les sociétés, où le facteur temps joue beaucoup dans la définition de la notion d'élite.

2:31 PM  
Blogger Douda said...

Roumi, excuse, j’avais oublié Begag, quel beau représentant de l’élite issue de l’immigration maghrébine, un con-centré d’arrogante médiocrité et d’obscène obséquiosité. Mais comme tu dis, il faut laisser le temps au temps.

3:51 PM  
Blogger Roumi said...

"un con-centré d’arrogante médiocrité et d’obscène obséquiosité"

Douda, c'est la définition de toute personne appartenant aux élites dirigeantes... Je ne suis pas sûr que Begag soit exactement ainsi... mais s'il l'est, ça montre simplement qu'il a pris les défauts exigés pour intégrer cette élite... alors ça donne pas forcément envie d'en faire partie... enfin toi je sais pas mais moi ça me branche pas trop... :-)

Il faut laisser du temps oui... l'intégration est un processus très long, à la fois simple et difficile... il suffit de regarder l'histoire pour trouver de nombreux parallèles...

5:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

...de dealers, on est maintenant passe aux nuls concitoyens non AOC...

Faut dire que la barre est haute, si jamais tu decides de changer ou modifier ton prenom (meme une lettre) : "le procédé de cette pauvre fille me paraît tellement indigne, tellement pathétique, tellement inefficace surtout, un peu comme ces femmes noires qui se blanchissent la peau à coup de produits toxiques...", pauvre fille, indigne, pathetique... qu'a-t-elle fait la bougresse ?!!! elle a abandonne ses enfants a la DDASS ?! non, elle a change une lettre de son prenom... pas meme officiellement, juste une tentative de passer a travers les maillons... certes, inefficace mais est ce que la pietre ruse t'etait destinee ??!

indigne ?!

2:34 AM  
Anonymous Anonyme said...

@ Douda & son roumi bis >
Begag est assez con, certes, et à ce titre tout à fait représentatif, non ? Il y a une phrase célèbre (que je vais citer très approximativement, je crois qu'elle est de Simone de Bauveoir) qui dit que le féminisme aura fait de grand progrès le jour où on nommera une femme incompétente au pouvoir ; on peut dire la même chose avec "intégration" et "beur" par exemple.

Concernant l'ascenseur social, je ne sais pas s'il est vraiment en panne ; je suis de mon côté issu de la bourgeoisie française, fils de prof et d'ingénieur, moi même ingénieur ; ma femme est fille d'un maçon et d'une femme de ménage immigrés, et est désormais normalienne (je n'en tire aucune conclusion statistique). J'ai reçu dernièrement le bulletin des anciens élèves de mon école d'ingénieur qui nous apprenait qu'un groupe d'élèves avait relancé la "junior entreprise" qui était en rade : pas un seul prénom "français de souche" dans la liste des élèves qui ont repris le flambeau. J'abonde donc dans le sens de roumi quand il dit qu'ils sont "courageux et sérieux dans leur études".
En outre le Nadir que j'ai recruté était lui-même tout à fait talentueux. Reste que je suis dans un secteur où je suis surtout en contact avec des Bac+4 ou Bac+5, je ne peux pas prétendre être confronté avec des échantillons représentatifs de la population française en général et d'origine étrangère en particulier.
__

PS : Le titre original du bouquin de Desproges, lui-même tiré d'une série radiophonique éponyme est "Chronique de la haine ordinaire". Pour ton bouquin, Douda, va falloir donner un coup de collier sur le travail sur le terrain ;-))

9:22 AM  
Blogger Douda said...

Mon K de conscience, tu sais bien que la mesure n’est pas mon fort. « si jamais tu decides de changer ou modifier ton prenom (meme une lettre)…. », au contraire ça m’aurait moins choquée qu’elle décide de changer de prénom et même de nom, mais c’est cette maladresse, ce pauvre subterfuge si voyant, si révélateur d’un malaise qui va bien au-delà que le nom.
Et mon K susceptible, si je me permets cette non complaisance envers les arabes, les maghrébins, les immigrés, c’est bien parce que j’en suis une moi-même et que je ne supporte pas le discours victimaire que tiennent certains, au risque de basculer dans d’autres extrêmes…des fois, je me relis et je me dis qu’on pourrait comprendre exactement le contraire de ce que j’ai voulu dire, mais c’est aussi parfois la recherche du mot qui sonne bien qui l’emporte sur l’idée qui sonne juste…Voilà j’ai fait mon mea culpa, t’es Kontent maintenant, tu ne me boudes plus ?

11:14 AM  
Blogger Douda said...

Comme une image, je n’arrive pas à retrouver l’étude qui disait que la représentation des milieux défavorisés dans les élites institutionnelles avait régressé depuis les années 50. Mais heureusement, il y a des exceptions.
PS : A propos des « chroniques de la haine ordinaire », ça me rappelle un vieil amant (à double titre) qui m’avait initié à Desprosges quand j’avais 20 ans. Je ne comprenais évidemment pas toutes ses références franco-françaises. Tiens, je vais peut-être écrire un billet là-dessus, sur mon amant, pas Desprosges.

11:51 AM  
Anonymous Anonyme said...

Je prefere que tes idees sonnent juste... :) ma theorie: y'en a une sur les 4 petites vieilles qui exagere...

4:19 PM  
Blogger Douda said...

K
D'accord, tu l'auras bien cherché, je vais me remettre à parler cul. Les sujets sociétaux ne me réussissent pas très bien.

4:38 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home